[vc_row full_width= »stretch_row » content_placement= »middle » css_animation= »fadeIn » css= ».vc_custom_1677350750032{padding-top: 70px !important;padding-right: 70px !important;padding-bottom: 70px !important;padding-left: 70px !important;background: #81d742 url(http://www.vigneronsbionouvelleaquitaine.fr/wp-content/uploads/2017/04/vinbio3-cover.jpg?id=481) !important;background-position: center !important;background-repeat: no-repeat !important;background-size: cover !important;} »][vc_column][swmsc_font color= » » size= »22″ line_height= »22″ weight= »bold » id= » » class= » » style= » »]
Le projet Coppereplace
[/swmsc_font][/vc_column][/vc_row][vc_row el_class= »under »][vc_column][gap size= »50px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/4″][swmsc_image link= »# » lightbox= »false » target= »_self » lightbox_type= »image » align= »left » alt= » » title= » » border_radius= »5px » id= » » class= » » style= » » src= »3535″][/vc_column][vc_column width= »3/4″][gap size= »30px » id= » » class= » » style= » »][swmsc_font color= » » size= »22″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Coppereplace est un projet européen, financé par le programme Interreg Sudoe qui promeut la coopération transnationale pour traiter des problématiques communes aux régions du Sud Ouest de l’Europe : France, Espagne, Portugal.
Conduit de Novembre 2020 à Février 2023, le projet rassemble 13 partenaires, publics ou privés, espagnols, français et portugais du secteur vitivinicole.
[/swmsc_font][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][gap size= »50px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][swmsc_font color= »#000000″ size= »24″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Liste des partenaires
[/swmsc_font][swmsc_divider divider_type= »line2″ color= »#5bac26″ max_width= »293px » text_align= »center » margin_top= »40px » margin_bottom= »40px » clear_float= »both » id= » » class= » » style= » »][swmsc_text_block id= » » class= » » style= » »]L’avantage de la répartition des partenaires sur ces 3 pays est de favoriser l’échange de connaissance inter-frontière, tout en réalisant les mêmes expérimentations dans des contextes de pression mildiou différentes afin de consolider les résultats.
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[break][/swmsc_text_block][/vc_column][vc_column width= »1/3″][swmsc_text_block id= » » class= »part-list » style= »line-height:42px; »]PTV – Plataforma Tecnológica del Vino (Leader du projet)[break]
https://www.ptvino.com/es/inicio/[break]
ADVID – Associação para o Desenvolvimento da Viticultura Duriense[break]
https://www.advid.pt/pt/home[break]
IFV – Institut Français de la Vigne et du Vin[break]
https://www.vignevin.com/[break]
Sogrape Vinhos, SA[break]
CVAN, Centro de Valorización Ambiental del Norte[break]
UPC – UNIVERSITAT POLITECNICA DE CATALUNYA[break]
Vignerons Bio Nouvelle-Aquitaine[break]
http://www.vigneronsbionouvelleaquitaine.fr/[break]
EURECAT[break]
Familia TORRES[break]
https://www.torres.es/en[break]
JEAN LEON[break]
https://www.jeanleon.com/[break]
UNIVERSIDADE DE VIGO – Área de Edafoloxía e Química Agrícola Departamento de Bioloxía Vexetal e Ciencia do Solo[break]
GREEN U PORTO – Departamento de Biologia FACULDADE DE CIÊNCIAS DA UNIVERSIDADE DO PORTO[break]
https://www.fc.up.pt/GreenUPorto/pt/[break]
Château l’Hospitalet – Gérard Bertrand[break]
https://www.gerard-bertrand.com/[break][/swmsc_text_block][/vc_column][vc_column width= »2/3″][swmsc_text_block id= » » class= » » style= » »][put_wpgm id=1][/swmsc_text_block][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][gap size= »50px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][swmsc_font color= »#000000″ size= »24″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Pourquoi ce projet ?
[/swmsc_font][swmsc_divider divider_type= »line2″ color= »#5bac26″ max_width= »293px » text_align= »center » margin_top= »40px » margin_bottom= »40px » clear_float= »both » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][gap size= »30px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/3″][swmsc_image link= » » lightbox= »true » target= »_self » lightbox_type= »image » align= »left » alt= » » title= » » border_radius= »5px » id= » » class= » » style= » » src= »3536″][/vc_column][vc_column width= »2/3″][swmsc_font color= »#000000″ size= »24″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
L’intérêt du cuivre en viticulture biologique
[/swmsc_font][swmsc_divider divider_type= »line2″ color= »#5bac26″ max_width= »120px » text_align= »left » margin_top= »0px » margin_bottom= »20px » clear_float= »both » id= » » class= » » style= » »][gap size= »10px » id= » » class= » » style= » »][swmsc_font color= » » size= »22″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
D’après le rapport INRAe « Peut-on se passer du cuivre en protection des cultures biologiques ? », le cuivre est le seul outil suffisamment efficace contre le mildiou (Plasmopara viticola) dans les itinéraires techniques Biologiques. Actuellement, il est indispensable pour assurer un rendement satisfaisant, notamment dans les vignobles Bio situés en climat océanique où la pression mildiou est extrêmement importante.
Il a son rôle à jouer également en viticulture conventionnelle, du fait de la suppression de plusieurs matières actives de synthèse ces dernières années. Il a également son importance en tant que produit de contact pour être associé à des produits systémiques à des fins d’activation.
[/swmsc_font][gap size= »50px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][gap size= »30px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »2/3″][swmsc_font color= »#000000″ size= »24″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Pourquoi le cuivre pose problème ?
[/swmsc_font][swmsc_divider divider_type= »line2″ color= »#5bac26″ max_width= »120px » text_align= »left » margin_top= »0px » margin_bottom= »20px » clear_float= »both » id= » » class= » » style= » »][gap size= »10px » id= » » class= » » style= » »][swmsc_font color= » » size= »22″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Pour autant, le recours au cuivre est soumis à beaucoup de débats. Comme évoqué au sein du mémo cuivre du Vinopôle Bordeaux Aquitaine, c’est un métal lourd qui ne se dégrade pas dans le sol et son emploi n’est donc pas neutre pour l’environnement. Bien que les doses employées aient considérablement baissé (divisées par 10 depuis les années 60 !), le cuivre s’est accumulé et continue de s’accumuler dans les premières couches du sol (sur environ 10 cm). Certaines de nos terres viticoles présentent donc une forte concentration, bien supérieure à la teneur naturelle en cuivre des sols, pouvant entrainer des problèmes de phytotoxicité.
Attention, il s’agit bien du cuivre bio-disponible dans le sol qui est toxique pour les plantes. Le cuivre qui est fixé sur la matière organique n’est pas disponible et ne présente donc pas de danger pour les racines. C’est pour cela que le lien est fait en agriculture biologique entre l’utilisation du cuivre et la nécessité d’une bonne gestion des sols et du niveau de matière organique. Cela étant, les sols acides par exemple, rendent le cuivre plus soluble et donc plus toxique pour les racines. Il existe également un risque de toxicité pour les milieux aquatiques mais le transfert du cuivre du sol vers les milieux humides est extrêmement limité. 99% du cuivre se fixe sur la matière organique du premier horizon puis sur les oxydes de fer et de manganèse. Il est donc très peu soumis au lessivage.
[/swmsc_font][gap size= »30px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][vc_column width= »1/3″][swmsc_image link= » » lightbox= »true » target= »_self » lightbox_type= »image » align= »left » alt= » » title= » » border_radius= »5px » id= » » class= » » style= » » src= »3537″][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][gap size= »30px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/3″][swmsc_image link= » » lightbox= »true » target= »_self » lightbox_type= »image » align= »left » alt= » » title= » » border_radius= »5px » id= » » class= » » style= » » src= »3536″][/vc_column][vc_column width= »2/3″][swmsc_font color= »#000000″ size= »24″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Le contexte politique du cuivre
[/swmsc_font][swmsc_divider divider_type= »line2″ color= »#5bac26″ max_width= »120px » text_align= »left » margin_top= »0px » margin_bottom= »20px » clear_float= »both » id= » » class= » » style= » »][gap size= »10px » id= » » class= » » style= » »][swmsc_font color= » » size= »22″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Face à ce constat, le cuivre est fortement remis en cause dans différentes instances nationales et européennes avec la volonté de pousser à sa réduction, voire son interdiction. Depuis 2015, le cuivre est inscrit sur la liste des molécules candidates à la substitution au niveau européen, à cause majoritairement de sa non-dégradabilité et son effet cumulatif dans le sol. Il devra subir une étude de ré-approbation tous les 7 ans, contre 15 ans auparavant. La prochaine se tiendra en 2025.
Les restrictions croissantes des doses de cuivre autorisées (passage de 6 à 4 kg/ha/an, lissés sur 7 ans lors de la dernière ré-approbation de 2018), ainsi que la menace d’une interdiction totale à l’échelle européenne, posent des difficultés aux producteurs. C’est d’autant plus le cas pour les vignerons Bio qui ne peuvent pas recourir à des pesticides de synthèse.
La recherche est donc extrêmement sollicitée pour faire émerger des alternatives solides. C’est dans ce contexte qu’a été mis en place le projet Coppereplace.
[/swmsc_font][gap size= »50px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][gap size= »30px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][swmsc_font color= »#000000″ size= »24″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Les objectifs du projet
[/swmsc_font][swmsc_divider divider_type= »line2″ color= »#5bac26″ max_width= »293px » text_align= »center » margin_top= »40px » margin_bottom= »40px » clear_float= »both » id= » » class= » » style= » »][swmsc_text_block id= » » class= » » style= » »]Coppereplace est chargé de valider une série de solutions intégrées, innovantes et viables pour réduire l’utilisation du cuivre dans la viticulture et son impact environnemental.[/swmsc_text_block][vc_raw_html]JTNDYnIlM0UlMEElM0NwJTNFTGUlMjBwcm9qZXQlMjBlc3QlMjBhcnRpY3VsJUMzJUE5JTIwYXV0b3VyJTIwZGVzJTIwYXhlcyUyMGRlJTIwdHJhdmFpbCUyMHN1aXZhbnRzJTIwJTNBJTNDJTJGcCUzRSUwQSUzQ2RpdiUyMGNsYXNzJTNEJTIyb2JqZWN0aWZzJTIyJTNFJTBBJTIwJTIwJTNDZGl2JTIwY2xhc3MlM0QlMjJvYmotYXhlJTIyJTNFJTBBJTIwJTIwJTIwJTIwJTNDc3Ryb25nJTNFQXhlJTIwMSUzQyUyRnN0cm9uZyUzRSUwQSUyMCUyMCUzQyUyRmRpdiUzRSUwQSUyMCUyMCUzQ2RpdiUyMGNsYXNzJTNEJTIyb2JqLXRpdHJlJTIyJTNFJTBBJTIwJTIwJTIwJTIwJTNDaDMlM0VUZXN0JTIwZGUlMjBwcm9kdWl0cyUyMGFsdGVybmF0aWZzJTIwb3UlMjByJUMzJUE5ZHVpc2FudCUyMGwlRTIlODAlOTllbXBsb2klMjBkZSUyMGN1aXZyZSUzQyUyRmgzJTNFJTBBJTIwJTIwJTNDJTJGZGl2JTNFJTBBJTNDJTJGZGl2JTNFJTBBJTNDZGl2JTIwY2xhc3MlM0QlMjJvYmplY3RpZnMlMjIlM0UlMEElMjAlMjAlM0NkaXYlMjBjbGFzcyUzRCUyMm9iai1heGUlMjIlM0UlMEElMjAlMjAlMjAlMjAlM0NzdHJvbmclM0VBeGUlMjAyJTNDJTJGc3Ryb25nJTNFJTBBJTIwJTIwJTNDJTJGZGl2JTNFJTBBJTIwJTIwJTNDZGl2JTIwY2xhc3MlM0QlMjJvYmotdGl0cmUlMjIlM0UlMEElMjAlMjAlM0NoMyUzRUNhdCVDMyVBOWdvcmlzYXRpb24lMjBkZXMlMjBzb2xzJTIwY29udGFtaW4lQzMlQTlzJTIwYXUlMjBjdWl2cmUlMjBldCUyMHJlY2hlcmNoZSUyMGRlJTIwc29sdXRpb25zJTIwZCVFMiU4MCU5OWFzc2Fpbmlzc2VtZW50LiUzQyUyRmgzJTNFJTBBJTIwJTIwJTNDJTJGZGl2JTNFJTBBJTIwJTIwJTNDJTJGZGl2JTNFJTBBJTIwJTIwJTNDZGl2JTIwY2xhc3MlM0QlMjJvYmplY3RpZnMlMjIlM0UlMEElMjAlMjAlM0NkaXYlMjBjbGFzcyUzRCUyMm9iai1heGUlMjIlM0UlMEElMjAlMjAlMjAlMjAlM0NzdHJvbmclM0VBeGUlMjAzJTNDJTJGc3Ryb25nJTNFJTBBJTIwJTIwJTNDJTJGZGl2JTNFJTBBJTIwJTIwJTNDZGl2JTIwY2xhc3MlM0QlMjJvYmotdGl0cmUlMjIlM0UlMEElMjAlMjAlM0NoMyUzRUQlQzMlQTl2ZWxvcHBlbWVudCUyMGRlJTIwbm91dmVsbGVzJTIwc3RyYXQlQzMlQTlnaWVzJTIwcG91ciUyMG9wdGltaXNlciUyMGxhJTIwcHVsdiVDMyVBOXJpc2F0aW9uLiUzQyUyRmgzJTNFJTBBJTIwJTIwJTNDJTJGZGl2JTNFJTBBJTIwJTIwJTNDJTJGZGl2JTNFJTBBJTIwJTIwJTNDZGl2JTIwY2xhc3MlM0QlMjJvYmplY3RpZnMlMjIlM0UlMEElMjAlMjAlM0NkaXYlMjBjbGFzcyUzRCUyMm9iai1heGUlMjIlM0UlMEElMjAlMjAlMjAlMjAlM0NzdHJvbmclM0VBeGUlMjA0JTNDJTJGc3Ryb25nJTNFJTBBJTIwJTIwJTNDJTJGZGl2JTNFJTBBJTIwJTIwJTNDZGl2JTIwY2xhc3MlM0QlMjJvYmotdGl0cmUlMjIlM0UlMEElMjAlMjAlMjAlM0NoMyUzRVRlc3QlMjBkJUUyJTgwJTk5dW4lMjBwcm90b2NvbGUlMjBlbiUyMGdyYW5kZSUyMHBhcmNlbGxlJTIwY3VtdWxhbnQlMjBsZXMlMjBwaXN0ZXMlMjBkJUUyJTgwJTk5aW50JUMzJUE5ciVDMyVBQXQlMjBkZXMlMjBhdXRyZXMlMjBheGVzJTNDJTJGaDMlM0UlMEElMjAlMjAlM0MlMkZkaXYlM0UlMEElMjAlMjAlM0MlMkZkaXYlM0UlMEElMjAlMjAlM0NkaXYlMjBjbGFzcyUzRCUyMm9iamVjdGlmcyUyMiUzRSUwQSUyMCUyMCUzQ2RpdiUyMGNsYXNzJTNEJTIyb2JqLWF4ZSUyMiUzRSUwQSUyMCUyMCUyMCUyMCUzQ3N0cm9uZyUzRUF4ZSUyMDUlM0MlMkZzdHJvbmclM0UlMEElMjAlMjAlM0MlMkZkaXYlM0UlMEElMjAlMjAlM0NkaXYlMjBjbGFzcyUzRCUyMm9iai10aXRyZSUyMiUzRSUwQSUyMCUyMCUyMCUzQ2gzJTNFSW1wYWN0JTIwJUMzJUE5Y29ub21pcXVlJTJDJTIwc29jaWFsJTIwZXQlMjBlbnZpcm9ubmVtZW50YWwlMjBkZXMlMjBzb2x1dGlvbnMlMjBkZSUyMHIlQzMlQTlkdWN0aW9uJTIwZHUlMjBjdWl2cmUlM0MlMkZoMyUzRSUwQSUyMCUyMCUzQyUyRmRpdiUzRSUwQSUyMCUyMCUzQyUyRmRpdiUzRSUwQSUyMCUyMCUzQ2RpdiUyMGNsYXNzJTNEJTIyb2JqZWN0aWZzJTIyJTNFJTBBJTIwJTIwJTNDZGl2JTIwY2xhc3MlM0QlMjJvYmotYXhlJTIyJTNFJTBBJTIwJTIwJTIwJTIwJTNDc3Ryb25nJTNFQXhlJTIwNiUzQyUyRnN0cm9uZyUzRSUwQSUyMCUyMCUzQyUyRmRpdiUzRSUwQSUyMCUyMCUzQ2RpdiUyMGNsYXNzJTNEJTIyb2JqLXRpdHJlJTIyJTNFJTBBJTIwJTIwJTIwJTIwJTNDaDMlM0VEJUMzJUE5dmVsb3BwZW1lbnQlMjBkJUUyJTgwJTk5dW4lMjByJUMzJUE5c2VhdSUyMGQlRTIlODAlOTlleHBlcnRpc2UlMjBldXJvcCVDMyVBOWVuJTIwc3VyJTIwbGElMjByJUMzJUE5ZHVjdGlvbiUyMGR1JTIwY3VpdnJlJTIwZW4lMjB2aXRpY3VsdHVyZS4lM0NoMyUzRSUwQSUyMCUyMCUzQyUyRmRpdiUzRSUwQSUzQyUyRmRpdiUzRSUwQQ==[/vc_raw_html][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][gap size= »30px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row full_width= »stretch_row_content_no_spaces » css= ».vc_custom_1677361630438{padding-top: 0px !important;background-image: url(http://www.vigneronsbionouvelleaquitaine.fr/wp-content/uploads/2023/02/300821-VBNA4-Coulous-085.png?id=3540) !important;} »][vc_column width= »1/2″][gap size= »30px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][vc_column width= »1/2″ css= ».vc_custom_1677361518042{padding: 50px !important;background-color: #5bac26 !important;} »][swmsc_font color= »#000000″ size= »24″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Téléchargez la plaquette complète des résultats du projet
[/swmsc_font][swmsc_button link= »http://www.vigneronsbionouvelleaquitaine.fr/wp-content/uploads/2023/02/VBNA_Coppereplace_plaquette_2023_planche.pdf » target= »_self » text_size= »18″ line_height= »30px » padding= »3px 20px » text_color= »#5bac26″ hover_text_color= »#eeeeee » bg_color= »#ffffff » hover_bg_color= »#222222″ border_color= » » hover_border_color= »#222222″ border_width= »1px » border_radius= »3px » id= »telecharger » class= » » style= » »]Télécharger[/swmsc_button][swmsc_text_block id= » » class= » » style= »display:none; »]
Retrouvez aussi :[break][break]
Synthèse des résultats en français[break]
Synthèse des résultats en anglais[break]
Synthèse des résultats en espagnol[break]
Synthèse des résultats en portugais[break]
[/swmsc_text_block][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][gap size= »30px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »2/3″][swmsc_font color= »#000000″ size= »24″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Que retenir du projet Coppereplace ?
[/swmsc_font][swmsc_divider divider_type= »line2″ color= »#5bac26″ max_width= »120px » text_align= »left » margin_top= »0px » margin_bottom= »20px » clear_float= »both » id= » » class= » » style= » »][gap size= »10px » id= » » class= » » style= » »][gap size= »30px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][vc_column width= »1/3″][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/12″][swmsc_image link= » » lightbox= »true » target= »_self » lightbox_type= »image » align= »left » alt= » » title= » » border_radius= »5px » id= » » class= » » style= » » src= »3553″][/vc_column][vc_column width= »11/12″][swmsc_divider divider_type= »line2″ color= »#5bac26″ max_width= »120px » text_align= »left » margin_top= »0px » margin_bottom= »20px » clear_float= »both » id= » » class= » » style= » »][swmsc_font color= » » size= »22″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Avant toute chose, le projet COPPEREPLACE a confirmé la grande disparité qu’il peut y avoir entre les régions viticoles, et plus précisément la zone sud-ouest de l’Europe dans notre cas. Ces écarts se sont manifestés au niveau de l’impact du cuivre selon les types de sols et la pression mildiou. Seule la région de Bordeaux a subi une pression forte durant les deux années d’essais. Le Portugal, l’Espagne et le sud-est de la France n’ont en effet pas été touchés par le champignon. Les objectifs et les besoins diffèrent donc, avec, d’une part, des régions qui doivent protéger un ou deux moments clés de la campagne phytosanitaire et, d’autre part, des régions au sein desquelles la pression reste forte et constante sur toute la saison (avec notamment certains épisodes de lessivage intense).
[/swmsc_font][gap size= »50px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/12″][swmsc_image link= » » lightbox= »true » target= »_self » lightbox_type= »image » align= »left » alt= » » title= » » border_radius= »5px » id= » » class= » » style= » » src= »3552″][/vc_column][vc_column width= »11/12″][swmsc_divider divider_type= »line2″ color= »#5bac26″ max_width= »120px » text_align= »left » margin_top= »0px » margin_bottom= »20px » clear_float= »both » id= » » class= » » style= » »][swmsc_font color= » » size= »22″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Les épisodes climatiques comme le gel ou la grêle ont montré également leur importance. Outre leur conséquence dramatique sur le rendement, ces événements fragilisent énormément la vigne, dont ils rallongent les cycles, notamment l’étape de la floraison, en favorisant une sensibilité du végétal et le développement du mildiou.
[/swmsc_font][gap size= »50px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/12″][swmsc_image link= » » lightbox= »true » target= »_self » lightbox_type= »image » align= »left » alt= » » title= » » border_radius= »5px » id= » » class= » » style= » » src= »3551″][/vc_column][vc_column width= »11/12″][swmsc_divider divider_type= »line2″ color= »#5bac26″ max_width= »120px » text_align= »left » margin_top= »0px » margin_bottom= »20px » clear_float= »both » id= » » class= » » style= » »][swmsc_font color= » » size= »22″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
La gestion du lessivage sur des périodes clés comme la fleur est sans doute l’une des données les plus importantes, qui doit orienter le développement des produits alternatifs au cuivre.
[/swmsc_font][gap size= »50px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/12″][swmsc_image link= » » lightbox= »true » target= »_self » lightbox_type= »image » align= »left » alt= » » title= » » border_radius= »5px » id= » » class= » » style= » » src= »3550″][/vc_column][vc_column width= »11/12″][swmsc_divider divider_type= »line2″ color= »#5bac26″ max_width= »120px » text_align= »left » margin_top= »0px » margin_bottom= »20px » clear_float= »both » id= » » class= » » style= » »][swmsc_font color= » » size= »22″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Sans surprise, la qualité de pulvérisation et le positionnement des produits au bon moment restent des points décisifs pour parvenir à réduire l’utilisation du cuivre. Cela a notamment été observé au niveau des résultats finalement pas si catastrophiques de la modalité demi-dose.
[/swmsc_font][gap size= »50px » id= » » class= » » style= » »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][swmsc_divider divider_type= »line2″ color= »#5bac26″ max_width= »120px » text_align= »left » margin_top= »0px » margin_bottom= »20px » clear_float= »both » id= » » class= » » style= » »][swmsc_font color= » » size= »22″ line_height= »22″ weight= »normal » id= » » class= » » style= » »]
Il n’est pas surprenant que ce projet n’ait pas permis de trouver de solution miracle au remplacement du cuivre. Malgré tout, il a permis plusieurs avancées.
Un nombre important de produits ont pu être testés, confirmant le faible intérêt de certains d’entre eux et le besoin d’amélioration pour d’autres. Une des conclusions clés du projet, confirmée par les axes 1, 3 et 4, est l’importance de la formulation des produits permettant une réduction de la dose de cuivre utilisé à efficacité constante.
Un enjeu important dans l’avancée vers la réduction du cuivre a également été mis en exergue : l’impossibilité de tester à grande échelle de nouveaux produits d’intérêt n’ayant pas encore obtenu d’homologation. Aucun des produits novateurs de l’axe 1 n’a pu être testé en grande parcelle en raison des difficultés d’obtention de dérogation en France et en Europe (à moins de détruire l’ensemble de la récolte). À cela s’ajoute en bio le déclassement automatique de la récolte dans le cas d’une utilisation d’un intrant non référencé.
La technique de la micro-encapsulation est prometteuse, mais va nécessiter de poursuivre son développement pour améliorer son efficacité.
Coppereplace a donc réaffirmé l’importance de la formulation des produits. Les essais ont montré comment un produit cuprique mieux formulé permet d’obtenir une protection intéressante en réduction de dose.
En conclusion, nous ne pourrons pas nous passer du cuivre pour le moment. Pour autant, cela n’empêche pas de travailler sur les pistes intéressantes pour réduire son utilisation au travers d’échanges entre acteurs de la recherche et professionnels.
Le meilleur outil pour cela sera la poursuite et la montée en puissance du réseau européen mis en place grâce à Coppereplace (axe 6). Il devra également être le lieu de discussions avec les pouvoirs publics et les responsables politiques, pour que ces derniers aient une vision claire des avancées sur le sujet et pour adapter au mieux les évolutions réglementaires.
Enfin, une fois que les solutions permettant de réduire l’utilisation du cuivre seront consolidées techniquement, il faudra promouvoir leur utilisation et travailler sur leur coût et sur la valorisation qu’elles pourront apporter aux vignerons.
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Zoom sur : un réseau d’expertise européen sur la réduction du cuivre en viticulture
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L’objectif de ce réseau est d’intégrer des scientifiques et des techniciens européens spécialisés sur les différents sujets abordés dans Coppereplace pour avoir une réflexion élargie sur les expérimentations et les solutions qui émergent du projet. Des conseillers politiques sont également invités, pour qu’ils puissent connaître le travail accompli sur la question du cuivre et être tenus informés des enjeux et des problématiques rencontrés. Au-delà du projet Coppereplace, ce réseau constituera un lieu de partage, d’échange et de coopération autour du sujet du cuivre en Europe. [break]Au niveau scientifique, il permettra de faire le lien entre les différents acteurs européens sur la question et permettra d’initier de futurs projets de recherche.[break] Au niveau politique, il permettra d’apporter aux institutionnels et aux responsables politiques les connaissances dont ils ont besoin pour faire évoluer la réglementation.[break]
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Pour aller plus loin
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https://www.interreg-sudoe.eu/fra/accueil [break]https://coppereplace.com/fr/project-coppereplace/[break]INRAe, Synthèse du rapport d’expertise scientifique collective « Peut-on se passer du cuivre en protection des cultures biologiques ? », Janvier 2018[break] https://www.inrae.fr/sites/default/files/pdf/expertise-cuivre-en-ab-synthese-francais-1.pdf [break]Vinopôle Bordeaux Aquitaine « Mémo Cuivre en Viticulture », Mai 2022[break] https://www.vignevin.com/article/memo-cuivre-en-viticulture/ [break]Vinopôle Bordeaux Aquitaine « Le biocontrôle au service de la réduction des intrants », Mai 2022[break] https://www.vinopole.com/wp-content/uploads/2022/07/2022_05_Biocontrole_24p_A5_05Md.pdf[break] Projet « Alt’fongi Biocontrôle » (2018-2020) Dupin S., Guégniard S., Aveline N., Chenard M. et Martin C. Intégration de produits de biocontrôle dans des stratégies de traitement pour lutter contre les maladies cryptogamiques de la vigne : Bilan du projet Alt’Fongi Biocontrôle, UGVB 1184, 7 pages. [break]https://www.vinopole.com/wp-content/uploads/2022/05/UG_Alt_Fongi.pdf[break]https://ecophytopic.fr/cuivre-viticulture/centre-de-ressources-cuivre[break] https://dosavina.upc.edu/
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Remerciements
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Le projet COPPEREPLACE SOE4/P1/E1000 est financé par le programme Interreg Sudoe, Union Européenne
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Vignerons Bio Nouvelle-Aquitaine adresse tous ses remerciements aux domaines, vignerons, chercheurs, partenaires et professionnels de la filière ayant participé à ce travail en mettant à disposition leur matériel, leurs vins, leurs données, leurs compétences et leur temps !
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